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Maman, c'est moi!



Je vous présente Firm (l'ours)



Mignonne la petite, non?



Quentin et moi en '86...



et en 2004



Regarde-moi dans les yeux


Née un 4 juillet (Born on the Fourth of July, comme dirait l'autre), j'ai passé les 18 premières années de ma vie, à 250m d'une célèbre salle de concerts portant les initiales d'une usine aux plus tristes desseins... J'ai eu le plaisir d'y applaudir des tas d'artistes, sans forcément toujours payer ma place...A l'époque, Forest-National, était une entreprise quasi familiale et c'est tout le quartier qui en vivait. Tout le monde y ayant sa place de "videur", je suppose que c'était là, la salle la mieux sécurisée du pays...


Ma scolarité a été classique: brillante en primaire, et de moins en moins assidue en secondaire.J'ai même fait exprès de doubler ma 5e année: l'idéalisme de mes 16 ans m'avait poussée à ne pas passer mes examens de passage afin d'être disponible l'été d'après pour partir sur un chantier, en Amérique latine...


Ne cherchez pas à comprendre, je ne comprends plus moi-même, mais à l'époque, mon raisonnement devait tenir la route... Quoi qu'il en soit, le projet a capoté.Attirée depuis ma plus tendre enfance par le social, je me suis d'abord orientée vers la philologie romane, qui devait m'amener à enseigner en écoles dites difficiles. Or, l'unif (l'UCL, bien sûr: je n'ai fait que des écoles cathos!) prépare mal à ce genre d'ambitions.


Après un break où je me suis improvisée vendeuse de jean's, j'ai repris des études d'assistante sociale (à Cardijn, of course). Et j'ai trouvé ma voie...


Ce portrait ne serait pas complet si je n'évoquais pas l'une de mes passions, qui reste aussi ma plus grande frustration!Un peu garçon manqué, je me suis très vite enflammée pour le foot... J'aurais pu facilement intégrer "la Forestoise", accompagnant ainsi mes voisins (supporters bruxellois du Standard), mais ma maman refusa, prétextant que c'était là un sport trop masculin... Elle m'inscrivit, toutefois, chez les louveteaux (allez comprendre...) et à la danse (logique).


Plus tard, des problèmes de rotules mal placées ont définitivement ruiné tous mes espoirs de footballeuse, soulageant du même coup ma maman d'un gros poids: celui d'avoir brisé mon rêve...


Il n'empêche que je n'ai jamais manqué aucune coupe du monde à la télé et que rien ne m'a jamais autant plu que l'effervescence entourant les classiques "Anderlecht-Standard" Tenant avec mes voisins contre le monde entier (...le quartier), et sans doute par esprit de contradiction, j'ai toujours haï les Môôôfffs! Mais c'est Marc Wilmots qui scella définitivement mon sort aux Rouches...


Saviez-vous que c'est aussi grâce à ce dernier que j'ai rencontré l'Amour de ma vie??? Non? C'est pas vrai! Mais quelques explications s'imposent, alors!Fin 2001, après avoir remis mon mémoire (en retard comme d'hab'...), j'ai été prise d'un terrible memory-blues, et j'ai cherché à créer quelque chose.Insatisfaite de ce que le monde virtuel offrait aux filles en matière de foot, j'ai décidé de créer mon propre site, consacré aux Diables Rouges (pour les non-initiés: équipe nationale belge de football).A l'époque, pas mal de joueurs évoluaient dans le championnat allemand, et notamment, Marc Wilmots, dont j'étais - faut-il le préciser - un peu amoureuse (NDLR: il n'était pas encore schtroumpf, et bien loin du sérail politique).


Ne parlant pas un mot d'allemand, j'ai cherché quelqu'un qui pourrait assurer la traduction des dépêches que je trouvais sur les divers sites dédiés à la Bundesliga.En répondant à l'annonce que j'avais déposée sur Internet à cet effet, Miguel fit irruption dans ma vie...


De traducteur attitré, il est devenu mon meilleur ami, puis, mon amoureux, mon compagnon, mon fiancé, et, pour finir, mon mari!